« Une décision passée sous silence » : en septembre 2025, la France cède discrètement un gisement stratégique de thorium à une société chinoise, provoquant la colère d’experts en ressources énergétiques

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Il y a des affaires qui passent inaperçues… jusqu’à ce qu’elles éclatent au grand jour et secouent tout un pays. C’est exactement ce qui se produit depuis que l’on a découvert qu’un gisement stratégique de thorium en Auvergne avait discrètement changé de mains.

Un secret qui fait grincer des dents

En septembre 2025, un gisement stratégique de thorium a changé de mains dans un silence presque assourdissant. Peu d’annonces, pas de conférence de presse. Et pourtant, derrière cette transaction discrète entre la France et une société chinoise, se cache un enjeu énergétique majeur. Certains parlent d’une simple vente. D’autres, d’un abandon de souveraineté. Ce qui est sûr, c’est que l’affaire ne laisse personne indifférent.

Les dessous d’une cession discrète

L’histoire commence dans une petite zone d’Auvergne, connue de quelques initiés pour abriter un gisement stratégique de thorium aux réserves jugées prometteuses. Ce métal rare pourrait bien être l’une des clés de la prochaine révolution nucléaire, avec des réacteurs plus sûrs, moins polluants, et capables de produire une énergie quasi inépuisable. On ne parle pas d’une ressource anodine.

Officiellement, la transaction n’a pas violé la loi. Elle a simplement glissé sous le radar, révélée au grand public avec plusieurs semaines de retard. Une révélation qui a fait bondir les experts. Marc Duval, chercheur reconnu dans le domaine, ne cache pas son irritation : « On ne joue pas aux dés avec des ressources aussi stratégiques sans en parler aux citoyens. » Le ton est sec, la colère palpable.

Derrière les réactions épidermiques, il y a une peur plus profonde : celle de voir la France perdre le contrôle d’une ressource essentielle pour l’énergie du futur. Certains scientifiques redoutent déjà que cette vente réduise la marge de manœuvre du pays en matière d’innovation nucléaire. Le thorium n’en est qu’à ses débuts dans la recherche, mais il attire l’attention des grandes puissances. Et cette fois, c’est une entreprise chinoise qui a raflé la mise.

Gisement stratégique de thorium : l’onde de choc chez les experts

Jean-Pierre Lemaire, spécialiste local du thorium, raconte avoir appris la nouvelle « comme tout le monde, par un article tombé un vendredi soir ». Il soupire, cherche ses mots, puis lâche : « C’est une décision prise sans que l’on mesure toutes les conséquences ». Le malaise est là. L’impression d’un choix précipité, pris derrière des portes closes, sans débat public.

Les inquiétudes s’accumulent. Perte de contrôle sur la ressource. Risque de dépendance énergétique. Impact sur la recherche nationale. Même la sécurité énergétique est évoquée. Car une fois cédé, un gisement stratégique de thorium ne se récupère pas. On ne parle pas d’un terrain agricole ou d’un immeuble. On parle d’une richesse minérale enfouie depuis des millénaires, capable d’alimenter une partie des besoins énergétiques de plusieurs générations.

Ce métal rare n’est pas encore exploité à grande échelle, mais son potentiel attire les regards. Dans les laboratoires, on imagine déjà des centrales capables de tourner sans produire les mêmes déchets radioactifs que l’uranium. Plus sûres, plus efficaces, moins coûteuses à long terme. Mais sans un accès direct à la ressource, ces ambitions risquent de rester des dessins sur des plans.

Et maintenant ?

L’affaire a remis sur la table un vieux débat : à qui appartiennent vraiment les ressources du sous-sol ? Les gouvernements, en théorie, sont censés agir dans l’intérêt général. Mais quand les décisions se prennent à huis clos, la confiance s’effrite. Cette vente pose aussi une question plus large : comment concilier ouverture économique et protection des intérêts nationaux ?

Certains défendent l’idée que la France aurait dû conserver ce gisement stratégique de thorium comme un atout dans sa manche, quitte à retarder son exploitation. D’autres estiment qu’une coopération internationale est inévitable, même pour les ressources stratégiques, et qu’il vaut mieux vendre que laisser le gisement dormir.

Ce qui est certain, c’est que cette transaction restera dans les annales comme un exemple de ce qu’il se passe quand la communication politique ne suit pas. L’opinion publique n’aime pas les surprises, surtout quand elles touchent à l’énergie et à l’indépendance nationale. Et dans ce cas précis, la surprise ressemble à une alarme. Le thorium pourrait un jour changer la donne dans la course à une énergie plus propre et plus sûre. Mais cette fois, la France regarde ce futur se jouer, en partie, depuis la touche.

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